“Il y a eu beaucoup de débats…” : Nagui répond aux critiques suscitées par cette nouvelle règle controversée des Masters de N’oubliez pas les paroles

“Il y a eu beaucoup de débats…” : Nagui répond aux critiques suscitées par cette nouvelle règle controversée des Masters de N’oubliez pas les paroles.

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Ce samedi 22 novembre 2025, lors de la grande finale des Masters de N’oubliez pas les paroles, Nagui a évoqué le changement de règles de cette édition, en répondant notamment aux critiques et aux “débats” que cela a pu susciter.

Les fans de N’oubliez pas les paroles ont évidemment noté la date dans leur agenda : ce samedi 22 novembre 2025 marquait la grande finale, en première et deuxième parties de soirée, des Masters de N’oubliez pas les paroles. Une édition qui a réuni, comme de coutume, les anciens Maestros emblématiques du karaoké géant de France 2, dont Laurens et Margaux, en tête du classement des meilleurs candidats de l’histoire du jeu. Au cours de la soirée, Nagui a exprimé son sentiment concernant l’évolution qu’a prise cette compétition dérivée de son émission musicale quotidienne.“Vous direz ce que vous voudrez mais moi, j’ai adoré cette nouvelle formule. Je ne sais pas de l’intérieur… J’imagine qu’il y a eu des hauts, des bas et beaucoup de débats sur l’égalité à un point qui a fait discuter”, a-t-il d’abord déclaré.

Une remarque qui fait référence à un point du règlement des Masters de N’oubliez pas les paroles qui a changé et qui s’inspire du fonctionnement de la Ligue des champions de football : les 32 candidats répartis en quatre chapeaux de huit, selon leur classement, s’affrontent avec un barème de 3 points pour une victoire, 1 pour un nul/égalité et 0 pour une défaite. Les six candidats ayant réuni le plus de points remportent leur ticket pour la suite de la compétition. Mais cette règle n’aurait pas tellement été appréciée des Maestros, qui ne la trouvent pas forcément très juste. Pourquoi, après avoir interprété parfaitement une chanson, devraient-ils se contenter d’un seul point au lieu de 3, à cause de la performance de leur rival ? “Ils sont tous venus me voir en disant ‘si on comprend bien, on est tous les deux très bons, on va tous les deux au bout de toutes les chansons et on a commis aucune erreur, ni l’un, ni l’autre et on n’a qu’un point’. C’est ça le vrai problème ?”, avait déjà réagi Nagui il y a dix jours sur le plateau de N’oubliez pas les paroles.

Nagui persiste et signe : la règle de l’égalité à un point reste !

“Mais c’est comme ça dans les règles du foot donc on a respecté la même règle. Nous, spectateurs, le kif qu’on a eu, c’est d’avoir quatre matchs par Maestro à chaque fois, dans tous les sens, que ce soit en premier choix ou en second choix. C’était l’avantage”, a-t-il donc encore assumé lors de la grande finale, sans avoir aucunement l’intention de changer ce point du règlement, malgré les protestations de certains candidats.

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Nagui évoque les critiques contre les nouvelles règles des Masters de  N'oubliez pas les paroles

Au-delà de la simple explication technique, Nagui a surtout tenu à rappeler l’esprit de cette compétition : montrer le niveau exceptionnel des Maestros et offrir aux téléspectateurs un véritable spectacle musical. Selon lui, cette nouvelle mécanique, bien que déstabilisante pour certains candidats, permet justement de renforcer la tension dramatique des duels et de maintenir un suspense permanent.
« Vous ne pouvez pas imaginer à quel point c’est difficile de départager des candidats aussi incroyables. Alors oui, cette règle venait bousculer leurs habitudes, mais elle leur donnait aussi quatre rencontres au lieu de deux. Cela change tout », a-t-il insisté, conscient de la sensibilité du sujet.

Dans les coulisses, plusieurs anciens champions ont confié avoir été surpris par l’impact psychologique de ce nouveau format. L’idée de pouvoir réaliser une prestation parfaite tout en n’obtenant qu’un seul point a semé le trouble. Certains y ont vu une forme d’injustice, d’autres un acte « antijeu » malgré eux.
Mais pour Nagui, c’est précisément ce type de dilemme qui fait la richesse des Masters : « On n’est pas là pour privilégier le confort, mais pour mettre en lumière leur talent dans un contexte renouvelé, plus stratégique, presque sportif. »

D’ailleurs, la soirée de finale a largement confirmé la montée d’intensité promise par l’animateur. Les Maestros ont livré des prestations d’une précision quasi chirurgicale, multipliant les fulgurances vocales et les moments de pure émotion. Laurens, toujours aussi imperturbable, a impressionné par son calme olympien, tandis que Margaux a une nouvelle fois prouvé qu’elle restait l’une des figures incontournables de l’émission. Les candidats, bien que parfois divisés sur le règlement, semblaient unanimes sur un point : l’ambiance de cette édition était plus électrique que jamais.

Le public, lui aussi, a visiblement adhéré à cette « version Champions League » du concours. Sur les réseaux sociaux, nombre de téléspectateurs ont exprimé leur enthousiasme face à un système de points jugé « plus lisible » et « plus excitant ». Plusieurs internautes ont même appelé à maintenir ce format pour les prochaines éditions, estimant qu’il redonnait un souffle nouveau à un programme déjà culte.

Cependant, les critiques persistent du côté de certains Maestros historiques. Pour eux, le cœur du jeu repose avant tout sur la maîtrise des paroles et non sur un système de classement inspiré du sport. L’un d’eux, sous couvert d’anonymat, a expliqué que cette règle pouvait créer « des égalités frustrantes » et dévaloriser la performance pure.
« Nous ne sommes pas des footballeurs, nous sommes des chanteurs. Si deux candidats sont parfaits, pourquoi les mettre en concurrence sur un système qui ne reflète pas leur niveau ? » a confié un autre habitué du plateau.

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Face à ces réserves, Nagui reste néanmoins imperturbable. Pour lui, le rôle d’un animateur-producteur n’est pas de céder à la pression, mais de proposer une vision cohérente et dynamique du programme. « On écoute, on échange, on ajuste quand c’est nécessaire. Mais il faut aussi accepter l’évolution naturelle des formats. Si tout restait figé, on s’ennuierait très vite », a-t-il expliqué en conclusion de la soirée, affichant un large sourire.

Reste désormais à savoir si cette règle controversée survivra aux débats des prochains mois ou si elle sera remodelée pour satisfaire tout le monde. Une chose est sûre : cette édition 2025 des Masters restera dans les annales comme l’une des plus animées, tant sur scène qu’en dehors. Et à en croire le public conquis, le pari de Nagui semble bel et bien réussi.

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