ASILE POLITIQUE POUR LES FRANÇAIS PERSÉCUTÉS : L’HUMILIATION PLANÉTAIRE DE MACRON PAR LES ALLIÉS DE TRUMP.

Un signal de guerre politique est envoyé de Washington à l’Élysée, révélant une crise démocratique sans précédent où des citoyens français se disent contraints de demander refuge aux États-Unis. Tandis que l’Amérique tisse une alliance transatlantique avec le Rassemblement National, l’inaction du gouvernement face à la terreur politique organisée dans des villes comme Lyon pose la question la plus déchirante : la France est-elle encore le berceau des droits de l’homme ?

C’est un véritable coup de semonce diplomatique et politique, un message d’une force et d’une franchise que Paris n’avait plus entendus depuis des décennies. Loin des canaux officiels et des dîners protocolaires, c’est via une rencontre stratégique au sommet que Washington a choisi d’adresser sa consternation la plus profonde au gouvernement d’Emmanuel Macron. L’onde de choc vient des États-Unis, où la congresswoman républicaine Anna Paulina Luna, une figure de proue du mouvement patriotique américain, a non seulement rencontré, mais fièrement affiché son soutien à la direction complète du Rassemblement National (RN) à Washington.

L’acte n’est pas anodin, il est une déclaration de principe : l’Amérique est en train de forger une alliance transatlantique directe, court-circuitant l’Élysée et l’appareil d’État français. Le message est cristallin : « Nous sommes ensemble, unis contre les élites déconnectées ». L’objectif est de « pulvériser » le discours bien huilé et formaté servi jour après jour par les médias dits « d’État ou subventionnés » et d’exporter l’idéologie MAGA (Make America Great Again) en Europe, et plus précisément en France.

Cette alliance stratégique est basée sur un socle idéologique commun : l’anti-mondialisme, la fin de la « guerre sans fin en Ukraine qui saigne nos économies », le refus des politiques jugées « folles » venant de Bruxelles ou de l’Élysée et la volonté de placer le pays et le peuple « en premier ». Le jeune leader charismatique du RN, Jordan Bardella, n’en est pas à son coup d’essai, ayant déjà été aperçu, absorbant « l’énergie de cette victoire historique », à l’investiture de Donald Trump. Ce qui se joue aujourd’hui est l’officialisation d’un axe de résistance puissant, visant à redessiner la carte politique européenne.

Le Choc Planétaire : Des Français Demandent l’Asile Politique

Mais l’élément qui a transformé cette rencontre politique en un scandale planétaire est la dénonciation ouverte de la situation française par la congresswoman Luna. Elle a exprimé une « inquiétude profonde » face à un climat où les « patriotes lambda ne peuvent même plus hisser le drapeau tricolore sans être immédiatement traité d’extrémistes de droite, de fascistes », harcelés ou même poursuivis en justice. Elle parle sans détour de « persécution politique » et d’un « climat de terreur intellectuelle » qui rappellent les heures les plus sombres des régimes autoritaires.

L’acte d’accusation de Washington a pris une dimension terrifiante en citant des exemples concrets : des citoyens français conservateurs qui, n’ayant « plus la moindre liberté d’expression dans leur propre patrie », doivent désormais « demander l’asile politique aux États-Unis ». Répétons-le pour que l’absurdité et la gravité de la situation soient bien comprises : des Français en 2025 demandent l’asile en Amérique parce qu’ils sont persécutés politiquement en France, traqués pour leurs idées ou leurs critiques du gouvernement.

Le cas emblématique est celui de Naomi, la jeune militante infatigable qui lutte pour le débat honnête et la liberté d’opinion, qui a officiellement déposé une demande d’asile. Harcelée, menacée par des activistes et les autorités, elle est contrainte de fuir vers un pays où le Premier Amendement protège encore les voix dissidentes. Anna Paulina Luna a promis de l’accueillir « comme une héroïne ».

Ce n’est plus du symbolisme, c’est la déclaration officielle et tonitruante du Congrès américain : « Si Paris, si l’Élysée, si Macron et sa clique ne protègent plus leurs propres citoyens, alors nous les Américains le feront à leur place, point final ». C’est une ingérence assumée, un point serré adressé à la France, qui humilie profondément la diplomatie française en la ramenant au rang des régimes peu soucieux des droits fondamentaux.

Le Siège de Lyon : Quand l’Intimidation Remplace la Loi

La gravité de la situation outre-Atlantique n’est que le reflet d’une érosion rampante de la démocratie sur le sol français. La ville de Lyon est devenue l’épicentre d’un scandale de chantage et d’intimidation organisé, mettant en lumière l’application de facto d’une « dictature d’opinion ».

L’objet du conflit est la fondation officielle de la Jeunesse Nationale, la nouvelle organisation de jeunesse du RN. Un événement légal, démocratique, constitutionnel, organisé dans le cadre d’un contrat de location parfaitement irréprochable dans un centre de congrès moderne. Ces jeunes, âgés de 14 à 35 ans, ne demandent qu’à débattre et à s’organiser politiquement.

Pourtant, ce qui s’est déroulé à Lyon est digne des pires heures de l’histoire de l’espionnage et de la répression politique. Une campagne d’intimidation nationale, « orchestrée » et « tolérée par les autorités », a contraint les prestataires de services à annuler en série, non pas par conviction, mais par « pure peur ».

Le Chantage Économique : Hôtels, traiteurs et entreprises ont résilié leurs contrats, craignant les shitstorms virulents de gauche, les campagnes de diffamation en ligne, les dégradations physiques de leurs établissements (vitres brisées, tags) et un boycott massif. C’est un « chantage économique pur » qui force les gens ordinaires à choisir entre leur liberté de contracter et leur sécurité financière.

Les Listes de Proscription : Le personnel du centre de congrès a été contraint d’effacer frénétiquement leurs noms des annuaires et d’Internet. Pourquoi ? Parce que des activistes de gauche, des « justiciers autoproclamés », dressent des « listes modernes à la Stasi » — nom, adresse, numéro de téléphone — pour inciter à la haine et à la violence. L’horreur a même atteint le point où des formations internes ont été rendues obligatoires pour apprendre au personnel « comment protéger ma famille contre la violence physique et les menaces ».

L’aveu d’impuissance est venu de la mairie de Lyon elle-même, qui a admis que la municipalité n’avait « aucun moyen légal d’empêcher ou de reporter la fondation de la jeunesse du RN ». Juridiquement, l’événement est inattaquable. Pourtant, la gauche radicale, syndicats (CGT, Sudo), associations subventionnées, et jeunes écologistes ont mobilisé leur « arsenal » pour empêcher la tenue de l’assemblée, en appelant ouvertement à la violence, allant jusqu’à payer les bus, les billets de train et les sandwichs pour acheminer jusqu’à 40 000 manifestants contre une assemblée de quelques centaines d’adolescents et de jeunes adultes.

La Lâcheté Politique et la « République de la Double Morale »

Face à cette « intimidation organisée, méthodique, avec des relans de mafia » et ces menaces de violence ouvertes, le silence est assourdissant. Les vieux partis — le PS, les Verts, LRM, et même une « grande partie des Républicains modérés » — se taisent ou « se planquent derrière des communiqués tièdes ».

Cette inaction est une « lâcheté pure ». La classe politique dominante, tétanisée par la peur d’être étiquetée « complice du RN », refuse de défendre clairement la liberté de réunion et la Constitution. C’est la raison même pour laquelle ces partis perdent élection après élection : ils se diluent dans un centrisme fade qui ne convainc plus personne.

De son côté, le Président Macron reste « enfermé dans son palais élyséen », muré dans un silence que d’aucuns qualifient de complice, laissant la « République de la double morale » prospérer. Tandis que le moindre « lapsus maladroit » d’un politique du RN ouvre les journaux télévisés pendant une semaine, les appels à l’émeute et les menaces de violence de l’antifa sont vus comme une simple « déclaration de guerre militante ». Les chaînes publiques, financées par nos impôts, font des émissions spéciales interminables sur « les réseaux d’extrême droite » mais pas une seule enquête sur les listes de proscription et les menaces de gauche.

Le phénomène de Lyon est le « symptôme criant de l’érosion rampante, insidieuse de notre démocratie ». C’est une « dictature d’opinion de gauche sournoise et hypocrite » qui, tout en utilisant les beaux mots de tolérance et d’antifascisme, applique mot pour mot les méthodes totalitaires qu’elle prétend combattre : pilori public, destruction économique, menaces physiques, et ostracisme.

Face à ce vide sidéral de leadership en France, la main tendue par Washington — l’aveu que l’on doit maintenant protéger les citoyens français depuis l’étranger — est l’humiliation la plus cinglante que l’Élysée pouvait recevoir. L’histoire jugera les silences de Paris, mais elle enregistre déjà le cri d’alarme venu d’Amérique. La France est à la croisée des chemins, et l’implosion politique menace.