« L’ESCLAVE a rendu la REINE COMTESSE enceinte… et ce qui suivit bouleversa le ROYAUME »
La reine conttesse s’effondra sur le tapis épais de la grande salle. Sa main pressée contre son ventre arrondi. Le murmure des serviteurs s’était transformé en un silence pesant. Chaque souffle retenu comme si le château lui-même craignait de rompre l’instant. “Comment, comment est-ce possible ?” balbussit l’un des conseillers, la voix tremblante.
Le roi, pas raide fixait l’ombre du chandelier qui dansait sur les murs. Aucun mot ne franchit ses lèvres. Le slave, accroupi dans un coin obscur, le regard baissé, sentait le poids des siècles d’injustice s’abattre sur lui. Ses mains étaient encore tâché de travail, de sueur et d’innocence, mais maintenant elle portait un secret capable de changer le destin du royaume.
La comtesse, ses yeux humides fixant le vide, murmura son nom. Thomas, un souffle, une prière ou une accusation ? Il ne su jamais. La nouvelle se répandit comme un feu dans les couloirs de pierre. Les servantes, les pages, les chevaliers, tous parlaient à voix basse, chaque mot un venin. Le royaume entier retenait son souffle, attendant la réaction du roi.

Et quand il parla enfin, sa voix était glaciale, tranchante comme une lame. Que ce secret ne sorte pas de ses murs, sous peine de tout perdre. Le slave sentit un frisson lui parcourir les Chines. Tout perdre, sa liberté, sa vie et maintenant un futur qu’il n’avait jamais osé imaginer. Pourtant, dans les yeux de la comtesse, il y avait une étincelle, une promesse silencieuse de protection, de rébellion et peut-être d’amour.
Les jours suivants furent un balai de faux semblants. La reine conttesse feignait la normalité lors des dîners, chaque sourire pesant comme un fardeau. Thomas, quant à lui, était assigné à des travaux plus ardus, surveillés par des gardes au regard suspicieux. Mais chaque soir, lorsque les étoiles apparaissaient derrière les grandes fenêtres gothiques, elle le rejoignaient en secret.
Leurs mains se fraient, leur souffle se mêlent et chaque rencontre devenait un combat entre désir et peur. Une nuit, alors que la lune baignait le jardin royal d’une lumière argentée, la conttesse murmura. La voix à peine audible. Si le roi découvre, il ne nous pardonnera jamais. Thomas la prit dans ses bras, sentant le poids du monde sur ses épaules.
Alors, nous ferons ce que nous devons pour protéger notre enfant. Le vent siffla entre les arbres, emportant avec lui une menace invisible. Mais les couloirs du château ont des oreilles. Une silhouette en capuchonnée glissa silencieusement dans l’ombre, observant chaque mouvement. Le messager du roi, envoyé par suspicion connaissait maintenant le secret et ce qu’il allait révéler au monarque pourrait tout détruire.
Le lendemain matin, le royaume se réveilla avec des rumeurs plus lourdes que le tonner. Des murmures de trahison, de honte et de scandale parcouraient chaque marché, chaque taverne, chaque ruelle pavé. La comtesse devait rester stoïque, cacher la vérité derrière ses bijoux et ses robes somptueuses, mais son cœur battait comme un tambour de guerre.
Thomas, lui, savait que chaque pas qu’il faisait pouvait être le dernier. Lors d’un conseil royal tendu, le roi fixa la conttesse avec une intensité glaciale. Il paraît que certains secrets menacent notre lignée. Les mots étaient choisis avec soin, mais leur sens était clair comme le cristal.
La contesse sentit son souffle se bloquer. Elle échangea à regard rapide avec Thomas, caché parmi les serviteurs. Dans cet instant suspendu, le temps sembla s’arrêter. Puis, soudainement, un cri retentit depuis les portes de la salle. Un messager altant s’agenuya, tenant un parchemin scellé du saut royal. Majesté, vous devez voir ceci immédiatement.
Le roi prit le document, ses mains tremblantes révélant une colère à peine contenue. Thomas sentit son estomac se nouer. Il savait que cette lettre portait la vérité. et la condamnation. Alors que le roi brisait le saut, les yeux de tous s’écarquillèrent. Les mots écrits sur ce parchemin ne parlaient pas seulement d’un secret, mais d’un complot, d’alliances brisées et de trahisons anciennes révélant que le royaume était plus vulnérable qu’on ne le croyait.
La comtesse sentit ses jambes faiblir. Thomas la retint juste à temps, mais leur regard, chargé de peur et de désir, se croisa à l’instant. Et dans ce silence glacé, un frisson parcourut les murs du château. La vérité allait éclater et personne ne serait épargné. Un crigutural raisonna soudain depuis les profondeurs du donjon, suivi d’un fracas métallique.
Quelque chose où quelqu’un venait de se réveiller. Le fracas se répéta fort cette fois, faisant vibrer les murs de pierre. Les conseillers reculaient, certains trébhants sur les tapis anciens, tandis que le roi se redressait, les yeux étincelants de rage et de peur mêlé. “Qu’est-ce que cela signifie ?” rugit-il, sa voix raisonnant comme un tonner dans la grande salle.
Mais personne n’osait répondre. Thomas sentit son cœur battre à tout rompre. Il avait entendu les légendes du donjon, des histoires que l’on murmurait aux enfants pour les effrayer, des prisonniers oubliés, des traîtres ou même des bêtes sauvages enfermées depuis des décennies. Pourtant, il savait au fond de lui que ce bruit n’était ni légende ni hasard.
Quelque chose venait de s’échapper. La comtesse, pâle comme le marbre, prit une profonde inspiration. Nous devons vérifier. murmura-telle, mais le roi l’interrompit d’un geste furieux. “Silence ! Tu te tiens là, tu caches plus que je ne peux tolérer.” Son regard brûlant se posa sur Thomas. Le jeune homme sentit la sueur perlée sur sa nuque.
Le danger venait maintenant d’atteindre leur secret. Un garde osa s’avancer vers les escaliers menant au donjon. Ses pas raisonnaient lourdement, chaque claquement amplifiant l’attention. Lorsqu’il atteignit la grille massive, un hurlement perça le silence. Les murs eux-mêmes semblaient trembler sous cette voie bestiale. Une rage qui ne ressemblait à rien de connu.
Le messager qui avait apporté le parchemin recula la terreur gravée sur son visage. Thomas se glissa vers la comtesse, la prenant par la main. Nous ne pouvons plus rester ici. Si le roi découvre. Sa voix se brisa. Elle hoa la tête, consciente que le moment de fuir était arrivé. Les yeux de chacun dans la salle étaient rivés sur eux.
Tout était prêt à exploser. Soudain, la grille du donjon fut projetée en arrière avec un craquement qui fit trembler les piliers. Une silhouette sombre, massive émergea de l’ombre. Ses yeux rougeoyants reflétaient la lueur des torchées, un mélange de colère humaine et de quelque chose d’inula, incapable de prononcer un mot.

Même les plus courageux chevaliers se figèrent, incapable de bouger. La conttesse se plaça devant Thomas, son corps tremblant mais déterminé. Vous ne passerez pas, cria-t-elle. Mais la créature avança, chaque pas faisant vibrer le sol, sa respiration sifflante emplissant la salle. Thomas sentit l’adrénaline lui brûler les veine.
Il devait agir, mais il ne savait pas comment. Le messager, toujours agenouillé, chuchota à peine. C’est l’ancien traître, celui qu’on croyait mort. La révélation frappa Thomas comme un éclair. Le fracas, les hurlements, tout cela n’était pas un accident. Le passé venait de revenir réclamer vengeance et le secret de la reine Comtesse n’était qu’un déclencheur.
Le roi leva la main tremblante, cherchant à invoquer l’autorité qui ne venait plus. “Protégez-moi”, murmura-t-il, mais aucun chevalier ne bougea peur avait paralysé tout le monde. Thomas se pencha vers la conttesse, ses yeux emplis de détermination et de peur. “Il faut descendre par les souterrains maintenant.
” Elle acquissa sachant qu’il n’avait plus le choix. Mais alors qu’il se dirigeait vers la porte secrète derrière les tapisseries, un bruit métallique les fit se figer. La créature les avait entendu. Une main immense frappa le mur derrière eux, éclatant la pierre et le sol trembla sous leur poids. Ils se retournèrent et dans un silence assourdissant, la silhouette s’avança, chaque pas raisonnant comme un glas.
Thomas serra la main de la comtesse plus fort tandis qu’un plan audacieux et dangereux naissait dans son esprit. Et juste au moment où ils allaient se précipiter vers la sortie secrète, un cri déchirant monta du sommet de la tour du château. L’enfant, il est en danger. Leur sang se glaça. L’avenir de l’enfant et de tout le royaume venait de basculer dans l’inconnu.
Le cri retentit à nouveau, plus perçant, plus désespéré, raisonnant à travers les couloirs de pierre comme un avertissement funeste. Thomas et la contesse s’arrêter nette, le souffle coupé, l’enfant, leur enfant. Chaque pas, chaque décision devait maintenant être calculée avec une précision mortelle. “Il est là-haut dans la tour”, murmura la contesse, la voix tremblante mais ferme.
Ses yeux, brillant de larmes et de courage, rencontrèrent ceux de Thomas. “Nous devons y aller avant que le roi ou cette chose ne l’atteigne.” Ils s’élancèrent dans les couloirs sombres, chaque pas étouffé par les tapisseries lourdes et les dalles froides. La silhouette monstrueuse derrière eux, frappant le sol à chaque pas, se rapprochait.
Son souffle sifflant remplissait les corridors d’une tension presque insoutenable. Thomas sentait son cœur battre comme un tambour de guerre, sa main serrant celle de la comtesse comme si c’était la seule ancre dans ce chaos. Les escaliers de la tour semblaient interminables. Les pierres usées par le temps vibrait sous leur pas précipité.
La comtesse poussait la peur au fond d’elle-même. Chaque respiration une lutte pour ne pas céder au désespoir. Thomas en silence analysait chaque ombre, chaque écho, prêt à tout pour défendre ce qui leur appartenait. Alors qu’ils atteignaient enfin la chambre haute de la tour, la porte était entrouverte. Une lumière vacillante filtrait à travers les fentes, dessinant des silhouettes étranges sur les murs.
Thomas posa un doigt sur ses lèvres. Silence ! Ils entrèrent et ce qu’ils virent les fit vaciller. L’enfant, encore endormi, reposait dans un berceau en bois sculpté. Mais autour de lui, des ombres dans mouvantes et menaçantes. La créature se tenait près du berceau, une main immense prête à frapper.
Ses yeux rougeoyants fixaient l’enfant avec une intensité terrifiante. “Reculé !” cria Thomas, brandissant une torche comme une arme. La lumière dansait sur le visage de la créature. Elle émit un rugissement gutural et s’élança vers lui. Thomas sentit le feu de la peur et du courage se mélanger.
Chaque muscle de son corps hurla de fuir, mais il resta planté là, protégeant l’enfant. La conttesse, tremblante mais déterminée, s’avança de son côté, brandissant un chandelier massif. “Lâche-le !” cria-t-elle, sa voix raisonnant comme un coup de tonner. La créature sembla hésiter un instant, fascinée par son audace.
Ce bref instant donna à Thomas le temps de saisir l’enfant, mais à peine-il pr dans ses bras qu’un craquement raisonna derrière eux, le plancher semblait céder sous le poids de la créature. La tour entière vibrait, menaçant de s’effondrer. La comtesse attrapa Thomas et ensemble, ils se précipitèrent vers la fenêtre. L’enfant serré contre eux.
Le vent de la nuit fouettit leur visage lorsqu’ils s’élancèrent dans le vide, les bras tendus, le cœur battant allunissant. La créature rugit, frappant le rebord de la fenêtre, mais ils disparurent dans l’obscurité du jardin royal, atterrissant avec fracas sur la pelouse humide. Thomas roula, protégeant l’enfant contre lui, tandis que la conttesse se relevait précipitamment.
Le rugissement derrière les poursuivait encore, mais ils étaient hors de porté. Pour l’instant, “Nous ne sommes pas en sécurité”, murmura la contesse, altante, les yeux fixés sur le château. “Il il nous suivra, il sait il sait tout.” Thomas serra l’enfant contre lui, sentant le poids de l’avenir sur ses épaules.
Alors, nous devons être plus rapide, plus malin et plus courageux que jamais. Un silence pesant s’installa, seulement brisé par le sifflement du vent nocturne et les échos lointains de la créature. Mais dans ce calme relatif, une pensée terrible germa. Le danger ne venait pas seulement de la créature. Le royaume lui-même était contre eux et le roi savait peut-être déjà plus qu’il ne voulait montrer.
Et tandis qu’il se glissait dans l’ombre des jardins, une silhouette familière mais inquiétante les observa depuis la muraille. Une flamme vacillante dans la main, un sourire cruel sur les lèvres. La comtesse et Thomas échangèrent un regard quelqu’un savait et ce quelqu’un allait changer le destin du royaume à jamais. La silhouette sur la muraille s’avança lentement, révélant un visage connu de Thomas.
un ancien conseiller exilé pour trahison que tout le monde croyait mort. Ses yeux brillaient d’un éclat cruel à la lueur de la flamme et un sourire glacial étira ses lèvres. “Vous pensiez pouvoir fuir si facilement ?” murmura-t-il, sa voix sifflante parcourant le jardin silencieux. La comtesse recula instinctivement, tenant l’enfant contre elle, tandis que Thomas se plaça devant eux, le corps tendut comme un arc.
“Que voulez-vous ?” demanda-t-il d’une voix ferme mais tremblante. L’homme rit doucement, un son qui faisait frissonner les pierres autour d’eux. Le royaume et cet enfant. Tout m’appartient désormais. Il leva la flamme et soudain le vent sembla s’élever, portant avec lui un parfum de magie ancienne et interdite. Thomas sentit ses genoux faiblir, mais il ne pouvait céder. Pas maintenant.
Un mouvement derrière eux attra leur attention. La créature du donjon, immense et hurlante, surgit du jardin dans un fracas terrifiant. Ses yeux rougeoyants fixèrent l’enfant. La comtesse poussa un cri et Thomas la repoussa doucement vers un bosquet sombre pour protéger l’enfant. La créature, cependant, ne semblait pas les remarquer. Seule sa cible importait.
L’ancien conseiller leva la flamme plus haut, récitant des mots inconnus. Thomas sentit l’air vibrer, chargé d’une puissance inquiétante. Il il l’attire vers lui, murmura-t-il. La contesse au chat, la peur se mêlant à la rage. Nous ne pouvons pas le laisser. Thomas inspira profondément et prit une décision audacieuse.
“Suivez-moi cria-t-il, serrant l’enfant contre lui. Il courut vers le vieux puit du jardin, un endroit oublié, caché derrière des ronces et des pierres moussues. La comtesse le suivit, les cheveux en désordre, le souffle court mais déterminé. Alors qu’ils atteignaient le puit, le sol trembla sous le pas de la créature et un rugissement secoulèr.
Thomas jeta un regard en arrière. La silhouette de l’ancien conseiller était encore là, observant avec un sourire cruel. “Vous ne pouvez pas échapper à votre destin”, lança-t-il. Thomas se pencha sur le puit et sans hésiter, il y descendit avec la comtesse et l’enfant. L’obscurité les enveloppa, mais l’air était plus frais et le monde extérieur paraissait lointain, presque irréel.
Leur cœur battait à tout rompre, chaque respiration un rappel de la fragilité de leur situation. Au fond du puit, ils découvrirent une petite chambre oubliée creusée dans la pierre. Des traces anciennes de lumière et de chaleur montraient que quelqu’un ou quelque chose avait vécu ici. Thomas posa l’enfant sur le sol, le recouvrant d’une couverture improvisée, tandis que la contesse tremblait légèrement, s’accrochant à lui.
Mais un bruit raisonna au-dessus de leur tête, le poids des pas lourds de la créature sur le rebord du puit. Et puis, un rire glacé, celui de l’ancien conseiller, retentit comme un éch macabre. Vous pensez pouvoir vous cacher ici ? Thomas serra les dents. Nous devons trouver un moyen maintenant. La comtesse s’approcha, posant une main sur son ventre, arrondit.
Et si le royaume découvre, notre enfant. Sa voix se brisa. Thomas la regarda déterminée. Alors, nous ferons ce qu’il faut pour le protéger, même si cela signifie défier la mort elle-même. Un silence pesant suivi, seulement brisé par le vent qui sifflait à travers le puit et les échos lointains du château.
Mais alors, un craquement métallique raisonna derrière eux, provenant d’un tunnel obscur qu’il n’avaient pas remarqué. Une lueur étrange s’y glissait. et quelque chose se mavait dans l’ombre plus rapide et plus silencieux que la créature ou l’ancien conseiller. Thomas sentit un frisson glacé parcourir son dos. “Nous ne sommes pas seuls”, murmura-t-il.
Et dans l’obscurité oppressante du puit, une silhouette encore inconnue émergea lentement, son visage caché par un capuchon, mais ses intentions claires, elles allaient changer leur destin pour toujours. La silhouette s’avança dans l’obscurité, révélant enfin son visage. C’était une jeune femme au regard perçant, une guerrière du royaume oublié, connue seulement dans les légendes comme la gardienne des ombres.
Son armure légère saintillait sous la faible lueur des torchées et dans ses mains, elle tenait un septre ancien gravé de runes oubliées. “Je savais que vous viendriez ici”, dit-elle d’une voix ferme mais douce. “Le royaume est au bord de l’effondrement et cet enfant est la clé.” Thomas la fixa hésitant. “Qui êtes-vous ? Et pourquoi devrions-nous vous faire confiance ? parce que je suis la seule qui puisse vous protéger et arrêter ce fou et sa créature.
Elle jeta un regard vers le puit, là où les ombres de la créature et de l’ancien conseiller se reflétait menaçante. Mais nous n’avons qu’une seule chance. Vous devez me suivre maintenant. Sans attendre une réponse, elle prit Thomas par le bras et l’entraîna avec la comtesse et l’enfant à travers le tunnel secret.
Les murs étroits semblaient se refermer sur eux et le bruit des pas de la créature s’amplifia au-dessus. Mais à chaque pas, la gardienne leur montrait un passage, un chemin à travers l’obscurité et les pièges oubliés du château. Enfin, ils aténirent une salle souterraine immense, remplie de symboles anciens et de lumières étranges.
Au centre, une fontaine de cristals étincelet irradiant une énergie douce mais puissante. La gardienne posa l’enfant près de la fontaine et instantanément, une lueur dorée l’entoura comme si le royaume lui-même le bénissait. La conttesse s’agenouilla, les larmes aux yeux, touchant la lumière qui enveloppait son enfant.
Thomas sentit un pois immense s’alléger de ses épaules. La peur, la tension, le danger, tout semblait momentanément suspendu. “Il est protégé pour l’instant”, murmura la gardienne. “Mais vous devez quitter le château. Le roi et le traître ne pourront jamais accepter cette vérité.” Une explosion retentit dans les profondeurs du château, la créature rugissant de rage.
L’ancien conseiller hurlait, furieux que leur plan est échoué. Thomas prit la comtesse par la main, serrant l’enfant contre lui. Alors, nous partons et nous reconstruirons notre avenir ailleurs. La gardienne cha la tête et ouvrit un passage secret vers l’extérieur à travers les tunnels oubliés qui menaient aux forêt du royaume.
Une fois dehors, sous la lumière de la lune, ils se retournèrent pour regarder le château, symbole de pouvoir et de trahison, qui s’effondrait peu à peu sous la colère de la créature et du chaos qu’ils avaient déclenché. Thomas sentit la main de la contesse serrer la sienne. Nous avons survécu ensemble et notre enfant survivra.
La gardienne leur fit un signe. Ce n’est que le début. Le royaume change et vous êtes maintenant au centre de son destin. Alors qu’il s’éloignait dans l’obscurité de la forêt, le vent souffla à travers les arbres, portant un murmure presque humain, un avertissement, un espoir et la promesse que ce royaume, bien que brisé, avait trouvé ses héros dans le cœur d’un esclave et d’une reine.
Et quelque part, dans l’ombre du château dévasté, la créature hurla une dernière fois, tandis que l’ancien conseiller, terrassé par sa propre ambition, tombait dans l’oubli. Le silence retomba sur la nuit. Mais dans l’air vibrait une vérité indéniable. Le royaume ne serait plus jamais le même.